Le projet de l’ANFR mené avec Blockchain Partner utilisé pour le Tour de France

Après plusieurs mois de développement, le projet blockchain sur lequel nous accompagnons l’Agence Nationale des Fréquences est entré en phase de test grandeur nature à l’occasion du Tour de France.

Après la rentrée, la plateforme deviendra la nouvelle norme pour la gestion des fréquences libres, avec en particulier les JO de Paris en 2024 dans le viseur.

Comme l’explique Les Echos, « la blockchain permettra de bien gérer les fréquences dites « libres » dans les zones non couvertes par la 4G, et ce dans le but d’assurer la meilleure diffusion possible de l’événement.

Les fréquences libres sont cruciales pour ces acteurs alors que le Tour de France traverse des régions peu couvertes, voire des zones blanches. « Il n’y a pas de 4G au col du Galibier », illustre Gilles Bregant, le directeur général de l’Agence.

Sur ce chantier, l’ANFR a collaboré avec une start-up tricolore Blockchain Partner. « On a créé une blockchain privée s’appuyant sur Ethereum et une plate-forme qui sera utilisable par les sociétés voulant utiliser les fréquences libres lors de grands événements comme le Tour de France, mais aussi lors de manifestations plus modestes », détaille Clément Jeanneau, cofondateur de Blockchain Partner.

La mise en place d’un système reposant sur la blockchain permettra plus de partage d’informations entre ces acteurs, de transparence et de traçabilité. « On dit souvent que la blockchain est une solution à la recherche de son problème. A l’inverse, cette utilisation sur le Tour est une bonne illustration de ce que peut apporter cette technologie », fait valoir Clément Jeanneau.»

–> Lire l’article dans Les Echos

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